Marine Balansard, l'autrice de Les superpouvoirs des dyslexiques en entreprise était l’invitée avec Thomas Le Beux de Arnaud Ardoin sur le plateau de Smart job.


Faut-il multiplier les comptes rendus à l’écrit ? Coucher sur le papier tout ce qui a été accompli ? Chez IDEX, on a décidé d’imposer certains feedback écrits pour fluidifier le partage d’informations. Une approche qui comporte des avantages, mais ne plaît pas forcément à tout le monde.


« Je viens d’une culture de l’oral. J’ai travaillé 20 ans en salle des marchés, c’étaient des départements en très forte croissance et c’était 100% oral. Pour former les nouveaux entrants, pour dealer avec les clients... […] La performance était totalement liée à la qualité de l’oral, donc c’était très normé, on parlait d’une certaine façon, il y avait même un jargon qui s’était développé. Mais c’était la condition de la performance. Et tout ce qui était écrit ne faisait que ralentir le business. La partie écrite était réduite à sa portion la plus importante, c’est-à-dire créée de la valeur ajoutée pour les clients, créée des propositions, donc là, oui, on passait par l’écrit. »


Pour découvrir l’interview dans son intégralité : Quelle place pour l’écrit dans le management ?.

Pour aller plus loin

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